vendredi 19 avril 2013

ACTUELLE MUSIQUE


Rap, Hip Hop, musiques urbaines issues souvent des cités des quartiers dit "défavorisés, sensibles, Z.U.S" où l'expression du mal vivre, le manque de générosité des nantis génère une violence non canalisée, aiguisée par les naturelles crises d'adolescence pourtant attendues.
Le sentiment éprouvé par ces jeunes de ne pas être compris, ni pris en compte, exalte toutes les complaintes concernant un quotidien difficile, des perspectives d'avenir aléatoires et plus qu'incertaines.
Les jeunes ont plus que jamais besoin de modèles positifs, des personnes qualifiées pour expliciter le monde comme il fonctionne, leur donner le coup de main salvateur, le bon conseil, la bonne orientation pour enfin trouver leur place au sein de la société civile.

Les pratiques culturelles sont indéniablement pour eux l'une des clefs pour ne pas franchir les limites.

EVENEMENT MUSICAL


mercredi 17 avril 2013

citation 2013


<< Attention à ce que vous dites,vous faites le monde qui vous entoure avec les mots que vous prononcez  ! >>



Loubna, Kenza et Shiraz Djenadi 

samedi 13 avril 2013

Le mot : "Jeune"


Si effectivement ce mot semble recouvrir des réalités diverses et des contractions suivant la personne qui le prononce, il n’en reste pas moins qu’au-delà d’un concept flou, il recouvre, semble–t’il quelques réalités tangibles et repérables.

Il reste à préciser ces réalités, tenant compte que la tranche d’âge que recouvre ce mot va, pour l’instant, de 10 à 25 ou 30 ans, selon, qui en parle et à quelle occasion. Il y a évidement dérive qui induit l’existence d’un faisceau de vecteurs qui enferme celui qui prononce le mot autant que celui à qui il est destiné.

Quand commence la jeunesse et où finit-elle ?
Pour tenter de répondre à cette question, il convient, me semble–t’il, de se débarrasser de toutes connotations morales, affectives, culturelles etc… et de toutes façons la réponse ne sera qu’incomplète et insatisfaisante.
Quand commence et où finit la jeunesse ?
La classification, enfants-adolescents-jeunes adultes–adultes, doit pouvoir aider à réfléchir et permettre de poser quelques jalons.
Nous proposons donc que puisse être appelé « jeune » celui qui sort de l’enfance et qui n’est pas entré dans l’âge adulte. C’est à dire de la pré-adolescence â l’âge adulte (décidé légalement à 18ans), c’est à dire selon les repères suivants :
- découverte de la sexualité, d’où les rapports différents entre filles et garçons
- découverte du mystère de l’amour
- découverte du mystère de la mort (suicide)
- transformation physiologique qui ne peut qu’induire une révolution psychique
- principe d’opposition à l’autorité d’où goût du risque, de la transgression, de l’argumentation
- appréhension de l’autonomie et en même temps comportement grégaire.

Ces quelques repères résistent au cours des siècles à toutes modes, toutes cultures et ont induit d’actes symboliques (rituels qui se retrouvent dans toutes les sociétés).
Cette liste n’est pas exhaustive et n’a pour but que d’ouvrir la discussion, et le temps manque...Mais ce qui caractérise cette liste nous semble être essentiellement la notion d’une profonde transformation autant physique que psychologique, cette transformation, ce déséquilibre, pouvant être alors l’élément essentiel qui fasse le malheur des jeunes !!!

vendredi 12 avril 2013

CULTURE = CIVILISATION


C’est l’effort que l’espèce humaine accomplit sur elle-même dans le but de dominer le monde, c’est-à-dire pour le comprendre, agir sur son environnement et sur elle-même, car l’espèce humaine fait partie de son environnement. Dès qu’elle est apparue sur terre, l’humanité s’est tendue dans cet effort ; c’est pourquoi on parle de culture aurignacienne ou de culture paléolithique, un ensemble de savoirs et de savoir faire qui permettrait de tirer d’un monde hostile les moyens de vivre et pas seulement de survivre.
Culture = civilisation, c’est-à-dire mode de vie.
Bien entendu, il importe d’entretenir les savoirs acquis, et pour cela d’y initier les enfants et de les entrainer pour que la société survive à la disparition des anciens.
C’est pourquoi on peut dire que l’homme actuel est juché sur les épaules de mille générations.
Mais au fur et à mesure que croissait le corpus des savoirs et savoir-faire, il a fallu affiner les techniques de transmission. Et aujourd’hui le corpus croit de jour en jour, au point que la durée de l’enfance et de l’adolescence n’y suffit plus. Ni d’ailleurs la durée de la vie d’un individu. Corollaire angoissant : les connaissances apprises naguère sont réfutées l’une après l’autre ! Le mode de vie d’hier est périmé, celui d’aujourd’hui est en train de se modifier.
Les divertissements changent. Il existe encore une civilisation villageoise ; quand à la civilisation urbaine, elle est bien plus complexe : sophistiquée, disent les anglo-saxons.
Mais que dire du mode de vie intermédiaire, celui des banlieusards ?
En tout cas, à Créteil, il y a des tentatives et des offres…
[box title="Definition Civilisation." color="#f00"]Sens n°1 :
Une civilisation est l'ensemble des caractéristiques spécifiques à une société, une région, un peuple, une nation, dans tous les domaines : sociaux, religieux, moraux, politiques, artistiques, intellectuels, scientifiques, techniques... Les composantes de la civilisation sont transmises de génération en génération par l'éducation. Dans cette approche de l'histoire de l'humanité, il n'est pas porté de jugements de valeurs.
Le sens est alors proche de "culture".
Exemples : civilisations sumérienne, égyptienne, babylonienne, maya, khmer, grecque, romaine, viking, arabe, occidentale...
Sens n°2 :
La civilisation désigne l'état d'avancement des conditions de vie, des savoirs et des normes de comportements ou mœurs (dits civilisés) d'une société. La civilisation qui, dans cette signification, s'emploie au singulier, introduit les notions de progrès et d'amélioration vers un idéal universel engendrés, entre autres, par les connaissances, la science, la technologie. La civilisation est la situation atteinte par une société considérée, ou qui se considère, comme "évoluée". La civilisation s'oppose à la barbarie, à la sauvagerie.[/box]



jeudi 11 avril 2013

Recueil Sagesse - Tome II


La sagesse pourquoi faire ?

 Pour préserver ce qu’il y a de meilleur en nous !



Le but évident de cette littérature est de représenter ce qu’elle exprime sous forme acceptable pour tous. En aucun cas ces récits n’exposent une doctrine. Ils servent seulement d’inducteur qui réactive, par association d’idées, tout un ensemble de représentations et de pratiques qu’il est inutile de détailler. Pour avoir toujours présent à l’esprit les dogmes, des façons de vivre et d’appréhender les choses. Tout, dans la vie de l’individu dépend de la manière dont il se représente les choses. « Ce qui nous trouble », disait Epictète, « ce ne sont pas les choses, mais nos jugements sur les choses ». Mettre en mouvement vers ce qu’il y a de meilleur en l’homme ou la femme, l’humanité et les pensées de ceux qui ont participé. Eveiller la pensée critique, provoquer le débat, l’échange et enfin tenter de modifier positivement le discours intérieur. Préserver un peu de bon sens, face au bombardement d’informations contradictoires, l’accélération, la complexité, la perte de valeurs universelles, des notions d’humanité et l’ignominie galopante.

Notre credo :
- dénoncer l’inacceptable
- rendre le souhaitable possible
- rétablir du sens et un peu de bon sens

mercredi 10 avril 2013

RETABLIR DU SENS ET SI POSSIBLE DU BON SENS !


Celui qui a des préjugés n’est pas forcement inculte...
Chacun de nous a des préjugés…
Partir en furie contre eux est une bataille perdue d’avance...
Ils sont plus forts que nous…
Aucun groupe social n’y échappe, y compris les intellectuels, chercheurs, journalistes…
Même l’école a des préjugés et quand ils sont collectifs et répétés cela constitue des stéréotypes…
Il n’est pas utile de se révolter car après débat et réflexion, ces préjugés ne sont qu’une phase initiale avant jugement pertinent, ainsi va le monde, c’est comme ça que les hommes fonctionnent. Un jour le désordre s’en ira ailleurs ……….

mardi 9 avril 2013

Rendre le souhaitable possible!


Face aux crises financières mondiales, sociales et morales, il s’agit d’ouvrir une porte de sortie salutaire : briser les servitudes des dettes virulentes, admettre un pardon qui effacerait la mémoire vive des rancœurs et, enfin, programmer des manifestations pertinentes qui valorisent, l’inconscient collectif, les estimes de « soi » et permettent des dynamiques positives pour « reformater » le disque dur où tout effacer et recommencer à zéro !